Contre-visite automobile à Marseille –Franchise Auto Sécurité
Les points de contrôle lors d’une visite technique sont susceptibles de présenter des défauts, c’est-à-dire des altérations. Certaines sont soumises à contre-visite, d’autres non.Si lors d’un contrôle technique, une défaillance soumise à contre-visite est mentionnée dans le procès-verbal, vous devez alors effectuer les réparations nécessaires auprès de votre garagiste habituel. Après quoi, vous devez présenter à nouveau votre voiture dans un centre de contrôle technique afin qu’il puisse vérifier les réparations effectuées.
Avec la nouvelle réglementation européenne du 20 mai 2018, différents changements ont été apportés à la contre-visite. Ce processus est parfaitement maîtrisé par Auto Sécurité La Joliette, centre de contrôle technique à Marseille.

Ce qu’il faut savoir sur la contre-visite technique
La contre-visite est un examen de vérification automobile obligatoire si le véhicule présente une ou plusieurs défaillances techniques majeures ou critiques lors du contrôle technique périodique. Cette opération permet au contrôleur de s’assurer que les réparations demandées ont été bien effectuées, et que le véhicule est effectivement sans danger pour la sécurité des usagers de la route et pour l’environnement. Après un contrôle technique, vous disposez d’un délai légal de deux mois pour effectuer les réparations nécessaires et pour présenter votre voiture pour une contre-visite.Comme pour la visite technique, vous devez présenter du certificat d’immatriculation (ou carte grise) de votre véhicule lors de la contre-visite. Vous devez également vous munir du procès-verbal qui vous a été remis lors du contrôle technique périodique. Si le contrôle technique périodique de votre véhicule est défavorable, le procès-verbal indique les éléments du véhicule en mauvais état qui doivent faire l’objet d’une réparation obligatoire. Depuis l’entrée en vigueur le 20 mai 2018 de la directive européenne sur le contrôle technique périodique, les conducteurs sont soumis à de nouvelles obligations. Parmi les 133 points de contrôle du véhicule, les altérations sur la plaque d’immatriculation sont, par exemple, soumises à la contre-visite.
Les défaillances repérées au contrôle technique
La défaillance mineure
Vous ne risquez rien dans le cas où une ou plusieurs des 139 défaillances mineures ont été identifiées lors d’un contrôle technique. En cas de défaillance mineure, vous recevrez simplement une notification qui n’entraîne pas d’obligation de réparation.
La défaillance majeure
Si des défaillances majeures sont constatées, le véhicule peut continuer à rouler, mais ces altérations nécessitent une contre-visite puisqu’elles présentent un éventuel danger. Le conducteur dispose alors d’un délai de 2 mois pour effectuer les réparations demandées et représenter sa voiture à la contre-visite.
La défaillance critique
Si des défaillances critiques sont identifiées sur le véhicule, celui-ci ne pourra plus rouler à partir de minuit le jour du contrôle technique. Les altérations critiques représentent effectivement un danger immédiat. Le conducteur s’expose à une amende s’il continue de rouler avec son automobile. Il dispose toujours d’un délai de 2 mois pour réparer les défaillances constatées sur sa voiture.

Les conseils préventifs à la contre-visite
Il est tout à fait possible de prévenir une contre-visite. Avant la visite technique, vous pouvez contrôler quelques points comme :- Le fonctionnement des feux ;
- La pression et l’état de vos pneus ;
- L’état de votre pare-brise et de vos rétroviseurs ;
- Le fonctionnement de vos essuie-glaces, de votre ceinture de sécurité ;
- La présence de bruits anormaux sur le véhicule ;
- L’état et la conformité de vos plaques d’immatriculation ;
- Le niveau d’huile ou de liquide de frein ;
- La propreté de la voiture avant le rendez-vous pour une visite technique…